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18 septembre: Manuel Bompard plaide pour une manifestation "pacifiste" et "espère" que le mouvement sera suivi

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Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, qui doit encore former son gouvernement, poursuit ses consultations ce mardi 16 septembre, alors qu'une journée de mobilisation intersyndicale est attendue jeudi.

L'ESSENTIEL

  • Nommé Premier ministre le 9 septembre, l'ancien ministre des Armées Sébastien Lecornu négocie pour obtenir la bienveillance des socialistes et du Rassemblement national, mais aussi des partenaires sociaux. Lire l'article
  • Sébastien Lecornu "va suivre de très" près la journée de mobilisation de jeudi. Lire la brève
  • 250 rassemblements sont déclarés dans toute la France, la mobilisation pourrait atteindre les 800.000 manifestants. Lire l'article
  • Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau met en garde contre la "présence de groupe d'ultra-gauche". Lire l'article

Sébastien Lecornu poursuit ses consultations, le PS menace déjà d'"une nouvelle motion de censure"

Ce direct consacré à l'actualité politique en France est désormais terminé, merci de l'avoir suivi sur BFMTV.com

Le Premier ministre Sébastien Lecornu poursuit ses consultations et a reçu les cadres de Liot. Ce sont les responsables du Parti socialiste qui se rendront à Matignon ce mercredi. Les cadres du PS réclament une rupture de la ligne politique et se disent "préparés" à "une nouvelle motion de censure qui mènerait à une dissolution".

Manuel Bompard plaide pour une manifestation "pacifiste" et "espère" que le mouvement sera suivi

Le coordinateur national de La France insoumise Manuel Bompard "espère que "le mouvement de grève sera suivi".

Sur notre antenne, il "ne souhaite pas" qu'il y ait de débordements et appelle à une mobilisation "pacifiste et non-violente".

Pour le secrétaire général des Républicains Othman Nasrou, "il n'y a rien de raciste à vouloir choisir qui on accueille" en France

Sur BFMTV, le secrétaire général des Républicains Othman Nasrou estime qu'"il n'y a rien de raciste à vouloir choisir qui on accueille" en France "et recueillir dans les pays d'accueil ceux qui se comportent mal".

"On a le droit de maîtriser les flux migratoires", plaide-t-il sur notre plateau, déplorant une "classe politique décalée" qui "ne voit pas aujourd'hui le ras-le-bol sur la non-maîtrise des flux migratoires et sur sécurité".

Le député RN de l'Oise Philippe Ballard demande le "rétablissement des peines planchers" et "l'abaissement de la majorité pénale à 16 ans"

Le député RN de l'Oise Philippe Ballard demande sur notre antenne le "rétablissement des peines planchers" et "l'abaissement de la majorité pénale à 16 ans".

"Il y a un lien évident entre insécurité et immigration", selon l'élu d'extrême droite sans étayer son propos.

Le secrétaire général des Républicains Othman Nasrou dénonce "le mensonge aux Français" sur le poids de la dette

Le secrétaire général des Républicains Othman Nasrou déplore sur BFMTV qu'"on ait menti aux Français pendant longtemps" sur le poids de la dette.

"On nous disait que c'était une facilité et que l'argent n'était pas un sujet. On leur a expliqué qu'on pouvait travailler moins et vivre mieux", poursuit-il sur notre antenne, estimant que "le pouvoir d'achat est le fruit du travail.

Philippe Brun veut "nationaliser l'électricité, un bien qui ne doit pas faire l'objet de marchandages"

Le député socialiste Philippe Brun appelle sur BFMTV à "nationaliser l'électricité" qui "est un bien qui ne doit pas faire l'objet de marchandages et de spéculations".

En vue de la mobilisation intersyndicale prévue ce jeudi, l'élu socialiste souhaite y "rassembler tout le monde".

Suivez la soirée spéciale "Colères françaises: la grande fracture"

À deux jours de la mobilisation intersyndicale, suivez la soirée spéciale "Colères françaises: la grande fracture" animée par Maxime Switek. En plateau, débattront le député RN de l'Oise Philippe Ballard, le député socialiste Philippe Brun et le secrétaire général des Républicains Othman Nasrou.

La secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon, réclame une rupture avec la politique menée depuis 2017

Dans un entretien au Parisien ce mardi, Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT appelle l'exécutif à une vraie rupture avec la politique menée depuis 2017 par Emmanuel Macron.

"Il n’est jamais trop tôt pour tordre le cou aux mauvaises idées. Nous pouvons craindre qu’elles soient encore poussées par certains et qu’elles persistent sur un certain nombre de sujets. Notamment sur le budget, où nous pourrions avoir un énorme déséquilibre dans les efforts demandés", assure la représentante syndicale.

"À la CFDT, nous sommes conscients qu’il y a un enjeu de déficit public: nous ne faisons pas l’autruche. Mais la question de la justice sociale est fondamentale, c’est un enjeu démocratique. Que me disent les gens que je rencontre? On ne veut pas que le monde du travail soit le seul à payer et que la note soit aussi salée. Il y a besoin d’efforts partagés".

Sébastien Lecornu "va suivre de très" près la journée de mobilisation de jeudi

"Sébastien Lecornu a rencontré les syndicats. Il a une bonne vision des attentes de celles et ceux qui descendront dans la rue", explique l'entourage du Premier ministre à BFMTV.

"Le Premier ministre va suivre de très près ce qu’il se passera ce jeudi. Ses équipes lui font des points réguliers depuis le début de la semaine sur l’ampleur de la mobilisation à venir".

David Lisnard souhaite "ne pas laisser le monopole de l'alternative au RN et à la gauche"

David Lisnard, maire LR de Cannes et président de l'Association des maires de France a expliqué sur le plateau de BFMTV ce mardi soir ne pas se sentir appartenir à la majorité ou à l'opposition.

"Je ne croyais pas au macronisme, après la dissolution, j'ai fait le constat qu'il n'y avait plus de majorité, donc il n'y a plus d'opposition. Puisque le pays est bloqué, il faut le gérer. L'enjeu aujourd'hui, c'est de ne pas laisser le monopole de l'alternative au RN et à la gauche".

"Je n'ai pas été élu pour désindexer les retraites des français": le vice-président du RN fait planer la menace de la censure

Invité de BFMTV ce mardi soir, Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement national s'est exprimé les compromis à trouver avec le nouveau Premier ministre.

"Le programme qu'on a présenté en 2024 comporte un certain nombre de priorités, on ne va pas se mettre à défendre l'inverse une fois élu. Je n'ai pas été élu pour un année blanche pour les Français, je n'ai pas été élu pour désindexer les retraites des Français", a-t-il expliqué. Interrogé sur la possibilité d'une censure du gouvernement en cas d'adoption du gel des retraites, Sébastien Chenu a dit que le RN censurerait.

Le député a aussi déploré le manque d'action du gouvernement sur les dossiers liés à l'immigration, en particulier le ministre de l'Intérieur. "Monsieur Retailleau il ne vient pas [au gouvernement] pour faire changer les choses, il vient pour accrocher un titre et pour pouvoir exister".

"Visiblement, M.Macron n'a pas entendu les raisons profondes de la chute de M.Bayrou", dénonce la députée Sophie Taillé-Polian

"Visiblement, Monsieur Macron n'a pas entendu les raisons profondes de la chute de Monsieur Bayrou", a dénoncé sur le plateau de BFMTV ce mardi la députée "Écologiste et social" du Val-de-Marne.

"Je pense que c'est démocratiquement, paisiblement, au mouvement social de venir exprimer le refus de la mise en œuvre de cette politique", a-t-elle poursuivi.

Le président du syndicat patronal U2P ressort satisfait de son rendez-vous avec Sébastien Lecornu

Le président de l'Union des entreprises de proximité (U2P), Michel Picon, a exprimé mardi son scepticisme sur la taxe Zucman, et estimé que le Premier ministre Sébastien Lecornu, qu'il venait de rencontrer, partageait son analyse.

"Je pense que nous partageons le même point de vue là-dessus: taxer l'outil de travail, c'est une folie", a déclaré M. Picon à la presse à l'issue d'un entretien à Matignon.

"Quand vous avez tué l'entreprise parce que vous l'avez trop taxée, elle ne produit plus, et ce sont toujours les mêmes qui trinquent, ceux qui perdraient leur emploi", a-t-il ajouté.

"Le trafic sera beaucoup plus perturbé" sur le réseau RATP lors de la journée du 18-Septembre

"La RATP prévoit un trafic beaucoup plus perturbé que jeudi dernier sur l'ensemble du réseau", prévient Philippe Tabarot.

Le ministre démissionnaire chargé des Transports a précisé que le trafic des lignes de métro serait perturbé mais que des efforts seraient faits aux heures de pointe.

"La journée sera difficile pour les usagers des transports en commun", a ajouté le ministre qui a recommandé d'anticiper ses déplacements lorsqu'il n'est pas possible d'effectuer du télétravail.

18-Septembre: "90% des TGV circuleront ce jeudi, un train Intercité sur deux" assure Philippe Tabarot

"Nous pourrons faire circuler 90% des TGV circuleront dans la journée de jeudi", explique Philippe Tabarot, ministre démissionnaire des Transports lors d'une conférence de presse ce mardi.

Le réseau Intercité est plus touché (un train sur deux) et trois trains régionaux sur cinq circuleront.

Un enseignant sur trois sera en grève dans les écoles primaires le 18 septembre

Selon le principal syndicat de l'Éducation national dans l'enseignement primaire, Snuipp-FSU, le taux de gréviste pour le 18 septembre avoisine les 33%.

"Un enseignant sur trois sera en grève dans les écoles primaires", estime l'organisation syndicale.

Dans les collèges et les lycées, Snes-FSU n'est pas encore en mesure de communiquer des chiffres mais s'attend à une mobilisation importante.

18-Septembre: Bruno Retailleau demande aux préfets de prévenir "sabotages, dégradations et éventuels blocages"

Dans un télégramme envoyé ce mardi aux préfets et que BFMTV a pu consulter, le ministre de l’Intérieur explique que "des risques de trouble à l’ordre public sont importants en raison de la présence de groupes d’ultragauche qui essaieront d’infiltrer les cortèges officiels".

Bruno Retailleau demande aux représentants de l'État dans les départements de prévenir "les sabotages, les dégradations et les éventuels blocages", la veille de la journée du 18-Septembre.

"Aucune dégradation de bâtiments publics ou emblématiques ne saurait être tolérée", a-t-il ajouté.

Laurent Wauquiez s'inquiète auprès des députés LR de la capacité de pression du PS sur Matignon

Patron des députés LR à l'Assemblée nationale, Laurent Wauquiez a convoqué ses troupes ce mardi pour une réunion de travail au cours de laquelle il s'est inquiété de "la pression beaucoup plus forte du PS" dans les discussions avec le gouvernement.

Un participant a indiqué à l'AFP que l'ancien président de la région Auvergne-Rhône-Alpes craignait que les socialistes ne forcent Sébastien Lecornu à exclure d'un deal budgétaire "l'immigration, la sécurité et l'assistanat".

LFI "n'a absolument rien à négocier" et rejette l'invitation de Sébastien Lecornu à Matignon

Lors d'une conférence de presse depuis l'Assemblée nationale, La France insoumise annonce finalement avoir été invitée à la table des négociations de Sébastien Lecornu "par un coup de fil tardif hier".

"Nous n'avons absolument rien à négocier avec les macronistes qui ont perdu trois élections. Qu'ils se soumettent au vote de confiance ou il connaîtra la censure", répond Mathilde Panot.

Les socialistes ne rentreront pas au gouvernement et menacent d'une censure en cas d'échec des négociations

Le Parti socialiste assure qu'aucun de ses membres n'entrera au gouvernement, lors d'une conférence de presse à la mi-journée.

Les socialistes réclament une rupture de ligne, une justice fiscale et rappellent qu'ils se rendront à Matignon demain pour négocier sur la base de revendications sociales et écologiques.

"Nous n'avons pas peur d'une nouvelle motion de censure qui mènerait à une dissolution. Nous y sommes préparés", prévient le parti de la rose.

Le patron de l'U2P estime que les chefs d'entreprise n'ont "pas le temps" d'aller manifester

Michel Picon, président national de l’organisation patronale U2P, a trouvé ce matin sur LCI "à pleurer" l'idée du patron du Medef d'une manifestation des chefs d'entreprise, avant sa rencontre avec le Premier ministre dans la matinée à Matignon.

"Habituellement, je suis solidaire de Patrick Martin, mais là il faut arrêter. Je pense que ce n'est pas notre place, on n'a pas le temps. Les résultats de nos entreprises ne nous permettent pas de laisser un rideau fermé pour aller manifester", fustige ce dernier.

Sébastien Chenu dénonce le "tapin électoral du PS" souhaitant accrocher le drapeau palestinien sur le fronton des mairies

Le vice-président du Rassemblement national a fustigé ce matin sur France info la proposition de la gauche, et notamment du socialiste Olivier Faure, d'installer le 22 septembre prochain lors de la reconnaissance par la France de l'État de Palestine à l'ONU, le drapeau palestinien sur les mairies. "Sur le fronton des mairies, ne doit flotter que le drapeau français", estime le député.

"J’en ai ras le bol de ce tapin électoral du PS pour essayer de séduire des communautés", poursuit-il.

Pour la patron des sénateurs socialistes, "LFI, c'est la valse à quatre temps: dissolution, destitution, insurrection, Mélenchon"

Patrick Kanner a fustigé ce matin sur Public Sénat l'attitude de La France insoumise. "C'est la valse à quatre temps: dissolution, destitution, insurrection, Mélenchon", fustige le socialiste.

"Même chose de l'autre côté, à l'extrême-droite, (...) les masques sont tombés: il n'y a plus de négociation, c'est la dissolution", juge celui qui assure que Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen sont "pressés" de voir arriver l'élection présidentielle.

"C'est (Sébastien Lecornu) et nous qui pouvons imaginer une sortie positive pour la France", assure Patrick Kanner.

Marine Le Pen "garde un tout petit espoir" de se présenter à l'élection présidentielle et dénonce les "ingérences du pouvoir judiciaire"

"Je garde un tout petit espoir", a assuré sur CNews ce matin la cheffe de file des députés RN, Marine Le Pen, quant à sa candidature à la présidentielle qui dépendra de l'issue de son procès en appel du 13 janvier au 12 février.

Celle-ci défendra son "innocence" devant une cour, "qui j'espère ne se fasse pas une opinion avant que je ne puisse parler".

"Après avoir voulu percuter gravement l'élection présidentielle, maintenant on cherche à percuter gravement l'élection municipale. Je trouve que ces ingérences du pouvoir judiciaire commencent à poser problème", dénonce la députée RN du Nord.

La gauche française veut "refaire des juifs des parias" fustige Marine Le Pen

Pour Marine Le Pen, Olivier Faure et la gauche française veulent "refaire des juifs des parias", juge-t-elle sur CNews, et par la suite "accessoirement les faire partir".

"Notre pays est le leur, c'est le leur, on est en train de pousser des Français au départ. On laisse se multiplier des propos et des actions qui puisent leur source dans un antisémitisme inouïe", juge la présidente des députés RN.

Marine Le Pen n'a pas signé la pétition de Philippe de Villiers, "tout le monde sait ce que je pense de l'immigration" balaie la députée RN

Sur la pétition proposant un référendum sur l'immigration propulsée par Philippe de Villiers, rassemblant plus d'un million de signatures, la députée du Nord explique qu'elle "ne signe pas de pétition, (elle) dépose des propositions de loi".

"Tout le monde sait ce que je pense de l'immigration, je n'ai pas besoin de signer une pétition pour le coup", balaie Marine Le Pen.

Transformer l’actuel impôt sur la fortune immobilière en impôt sur la fortune financière serait un "bon impôt" pour Marine Le Pen

Le Rassemblement national promet de transformer l’actuel impôt sur la fortune immobilière en impôt sur la fortune financière. Il s'agirait selon Marine Le Pen d'un "bon impôt", annonce-t-elle sur RTL.

"Cela va permettre de dégager trois milliards d'euros. Protéger les biens professionnels, la résidence principale et les investissements est une bonne chose. Il y a des bons impôts pour bonnes dépenses sociales", assure la députée du Nord.

La poursuite du macronisme "entraînera la suite de la crise politique" et Sébastien Lecornu en sera "certainement la victime" prévient Marine Le Pen

Marine Le Pen, présidente du groupe Rassemblement National à l'Assemblée nationale, sera reçue demain à Matignon. Sur CNews, elle estime qu'il s'agira d'un entretien "pour dire à monsieur Lecornu que s'il s'agit d'un retour aux sources du macronisme, c'est-à-dire le socialisme, alors c'est contraire à l'aspiration du pays".

Cela "entraînera la suite de la crise politique et sociale dont il sera certainement la victime", assure la députée RN du Nord.

Auparavant pas automatique, la censure se rapproche désormais selon le RN. "On a voulu croire" à une rupture avec le macronisme, ironise Marine Le Pen.

Fin des avantages aux anciens Premiers ministres, "une bonne décision" juge Manuel Bompard

La fin des avantages aux anciens Premiers ministres est "une bonne décision", assure Manuel Bompard, mais est une décision qu'il ne "met pas au crédit" de Sébastien Lecornu.

Pour Manuel Bompard le Parti socialiste enterre le programme du NFP, une attitude "consternante"

Pour Manuel Bompard sur RTL, "oui, évidemment" que le PS est en train de se faire rouler par le gouvernement. Pire "ils envoient aussi valdinguer le programme du Nouveau Front populaire défendu ensemble hier", fustige le député LFI.

"Un an plus tard, il faut rester fidèle à ce programme. Je crois en la fidélité de la parole donnée devant le peuple, je trouve à ce titre que l'attitude du Parti socialiste est consternante.

La France insoumise "n'a pas été invitée" à aller à Matignon selon Manuel Bompard

Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise, indique sur RTL que le parti "n'a pas été invité" à aller à Matignon.

"Monsieur Lecornu cherche dans le champ politique une forme de non-censure, ce n'est pas notre cas. (...) Nous voterons la censure si le Premier ministre la demande", poursuit l'élu.

Le député des Bouches-du-Rhône avait de toute façon annoncé la semaine dernière qu'il ne se rendrait pas auprès du Premier ministre pour négocier.

Face à Sébastien Lecornu, le Parti socialiste pose ses exigences

En position de force, les socialistes sont bien déterminés à jouer le bras de fer avec Sébastien Lecornu pour obtenir des concessions en vue du budget 2026.

Pour l'instant, le Premier ministre joue la carte de la souplesse tout en se gardant d'entrer dans le détail. Au risque de pousser le PS à finir par le censurer à l'automne.

"François Hollande, il se voit bien comme le négociateur qui a empêché la bombe de la dissolution d'exploser", grince un député socialiste, qui reconnaît cependant que "c'est plutôt malin".

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Les co-présidents du groupe Liot reçus aujourd'hui par Sébastien Lecornu (info BFMTV)

Les co-présidents du groupe Liot, qui comprend 23 députés à l'Assemblée nationale, seront reçus cet après-midi à 16 heures par Sébastien Lecornu à Matignon, selon les informations de BFMTV.

Le Premier ministre recevra ce groupe à la veille de ses consultations avec le Parti socialiste, les Écologistes et le Parti communiste.

"On a senti un Premier ministre prêt à bouger les lignes", retient la CFTC qui continue d'appeler à la manifestation

Cyril Chabanier, président du syndicat CFTC est sorti hier de Matignon avec le sentiment que Sébastien Lecornu était prêt à des concessions.

"[Il] comprend que l'année blanche peut poser certaines difficultés et qui est prêt à nous écouter, à entendre nos propositions, en tout cas pour que les plus fragiles et les plus modestes puissent être exclus des mesures les plus difficiles dans l'effort de redressement budgétaire".

Sébastien Lecornu annonce la fin des avantages "à vie" des anciens membres du Gouvernement

Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré à l'actualité politique. Hier, le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé que les avantages "à vie" des anciens membres du gouvernement (ministres et secrétaires d'État) allaient être supprimés dès le 1er janvier 2026.

En parallèle, le ministère de l'Intérieur a organisé une réunion de préparation pour la journée nationale d'action du 18 septembre. Au total, une quarantaine de cortèges syndicaux sont déclarés.

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