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Ukraine

Guerre en Ukraine: Donald Trump va "probablement" rencontrer Volodymyr Zelensky la semaine prochaine

Volodymyr Zelensky et Donald Trump, le 18 août 2025 à la Maison Blanche.

Volodymyr Zelensky et Donald Trump, le 18 août 2025 à la Maison Blanche. - MANDEL NGAN / AFP

Marco Rubio, chef de la diplomatie américaine, indique ce mardi 16 septembre qu'une probable rencontre entre le président des États-Unis et son homologue ukrainien aura lieu la semaine prochaine à New-York.

Le président américain Donald Trump va "probablement" rencontrer son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky la semaine prochaine et espère toujours négocier un accord de paix impliquant le président russe Vladimir Poutine, a déclaré mardi 16 septembre le secrétaire d'État Marco Rubio.

Donald Trump a eu "de multiples appels avec Poutine, de multiples rencontres avec Zelensky et probablement une nouvelle fois la semaine prochaine à New York", où se tient l'Assemblée générale de l'ONU, a indiqué Marco Rubio à des journalistes en Israël.

Trump "pourrait conclure que ce n'est pas possible"

"Il va continuer d'essayer. Si la paix est possible, il veut l'obtenir", a-t-il ajouté. "A un certain moment, le président pourrait conclure que ce n'est pas possible. Il n'en est pas encore là, mais il pourrait atteindre ce stade."

"Si d'une manière ou d'une autre il (Donakd Trump) devait se désengager, ou sanctionner la Russie en disant 'j'en ai fini', alors il ne resterait plus personne au monde capable de jouer les médiateurs pour mettre fin à la guerre", a encore dit Marco Rubio.

Marco Rubio a rappelé un chiffre déjà cité par Donald Trump, selon lequel la Russie aurait perdu 20.000 soldats rien qu'en juillet.

Donald Trump a menacé à plusieurs reprises d'imposer des sanctions à la Russie si le président Vladimir Poutine ne faisait pas de compromis. Mais il n'est pas allé au bout de ses menaces, alors même que Moscou intensifie ses attaques contre les civils ukrainiens et sur le front.

Samedi, Donald Trump s'est dit prêt à de nouvelles sanctions contre Moscou, si les pays de l’Otan "arrêtent d’acheter du pétrole russe".

B.R. avec AFP